Le CERAPAR
Créé en 1987, statut d'association Loi 1901, le CERAPAR prend la suite du groupe de recherche existant au sein de la Maison des Jeunes et de la Culture de PACE, depuis 1977.
BUT :
Recherche et prospection archéologique Initiation et formation Diffusion des connaissances et sensibilisation au patrimoine archéologique.
ORIGINALITE :
Par son ancrage local dans le pays de Rennes, et de l'Ille & Vilaine, le CERAPAR est un interlocuteur privilégié du Service Régional d'Archéologie, des Universités de Rennes, du Musée et des collectivités territoriales. Associé à la recherche, par l'intermédiaire des archéologues, membres de l'association, le Centre veut également favoriser la prise de conscience des populations sur l'intérêt du patrimoine archéologique. Ainsi, il participe régulièrement à la conception et à la circulation d'expositions sur ce thème. Des animations ponctuelles, sous forme de visites et de conférences, sont également organisées sur les sites étudiés. Des publications régulières dans les revues scientifiques spécialisées rendent compte de l'état d'avancement de la recherche.
LES POINTS FORTS :
"Une documentation scientifique réunie dans une bibliothèque en constante évolution (achats d'ouvrages, dons) ouverte aux membres et à l'extérieur. " Une présence sur le terrain plusieurs fois par semaine, grâce à une équipe de bénévoles, en concertation avec les habitants des communes concernées par les études. " Des études scientifiques sur différentes périodes, du Paléolithique au Moyen-Age. " Une collaboration avec d'autres associations archéologiques, telles le CERAM de Vannes, Pierres & Landes de Monteneuf. " Organisation de sorties, non seulement à caractère purement archéologique, mais aussi sur tout ce qui concerne le patrimoine. " Le CERAPAR publie un calendrier d'activités et de sorties tous les trois mois, ainsi qu'un bulletin d'information de la vie de l'association (Le GRATTOIR).
LES MOYENS :
Le CERAPAR envisage, dans le cadre de l'extension de sa bibliothèque, l'achat de nouveaux ouvrages et de fond documentaire. Les nombreux relevés sur les sites nous obligent à compléter régulièrement notre matériel topographique. Une communication régulière engendre un coût non négligeable (photocopies, timbres...).